Maurice-G. Du Berger - Directeur de production
Maurice-G. Du Berger commence l’étude du piano à l’âge de 15 ans. Dès lors, à s’intéresser à la composition. En 2004, il est admis au Collège Lionel-Groulx en piano classique avec Dominique Morel. Malgré un programme axé sur l’interprétation, il continuera à composer en vue de présenter ses œuvres pour l’admission au Bacc. en Écriture à la Faculté de l’Université de Montréal.
Il fait son entrée à l’Université de Montréal en 2006 où il suivra les cours d’harmonie composition avec José Evangelista (composition pour quatuor et orchestre de chambre) et l’orchestration avec Alan Belkin. Il prend le cours de composition dans un premier temps, avec José Evangelista, où il compose une pièce pour orchestre symphonique et gagne le prix Clément-Morin, assortit d’une bourse. Il poursuit dans un deuxième temps avec Alan Belkin où il compose une pièce pour voix et orgue, commande de la Faculté de Musique de l’Université de Montréal, suite à l’obtention du prix Clément-Morin.Il complète maintenant une maîtrise en composition avec Ana Sokolovic sous le thème « Balkans et Carpates, ou De l’influence sur mon langage »
Actuellement président du Cercle des Compositeur de la Faculté de Musique de l’Université de Montréal, il travail aussi comme assistant directeur de production pour le Festival Montréal Baroque. Il a aussi été professeur de piano pour la ville de Saint-Jérôme et auxiliaire d’enseignement à la Faculté de Musique de l’UdeM. Par ailleurs, il occupe depuis quelques mois le poste de coordonnateur de l’église Saint-Jean-Baptiste de Montréal où il s’affaire à maintenir et diversifier la sphère culturelle de ce haut lieu patrimonial. Son mandat consiste en une augmentation et une diversification de l’achalandage artistique ainsi qu’un remodelage de la facette culturelle de l’église Saint-Jean-Baptiste-de-Montréal.
Il fait son entrée à l’Université de Montréal en 2006 où il suivra les cours d’harmonie composition avec José Evangelista (composition pour quatuor et orchestre de chambre) et l’orchestration avec Alan Belkin. Il prend le cours de composition dans un premier temps, avec José Evangelista, où il compose une pièce pour orchestre symphonique et gagne le prix Clément-Morin, assortit d’une bourse. Il poursuit dans un deuxième temps avec Alan Belkin où il compose une pièce pour voix et orgue, commande de la Faculté de Musique de l’Université de Montréal, suite à l’obtention du prix Clément-Morin.Il complète maintenant une maîtrise en composition avec Ana Sokolovic sous le thème « Balkans et Carpates, ou De l’influence sur mon langage »
Actuellement président du Cercle des Compositeur de la Faculté de Musique de l’Université de Montréal, il travail aussi comme assistant directeur de production pour le Festival Montréal Baroque. Il a aussi été professeur de piano pour la ville de Saint-Jérôme et auxiliaire d’enseignement à la Faculté de Musique de l’UdeM. Par ailleurs, il occupe depuis quelques mois le poste de coordonnateur de l’église Saint-Jean-Baptiste de Montréal où il s’affaire à maintenir et diversifier la sphère culturelle de ce haut lieu patrimonial. Son mandat consiste en une augmentation et une diversification de l’achalandage artistique ainsi qu’un remodelage de la facette culturelle de l’église Saint-Jean-Baptiste-de-Montréal.
Lydia Vallée - Directrice administrative
Lydia a terminé sa formation en interprétation de la danse à L’École de danse de Québec en 2007. Depuis, elle a enseigné dans quelques écoles de la région de Québec, notamment pour Élédanse et pour l’école de danse Paule Boulanger, toutes deux situées sur la rive-sud. Elle a également tenu à perfectionner son art en poursuivant sa formation professionnelle en tant qu’interprète au sein de LADMMI, l’école de danse contemporaine. Au cours de sa formation professionnelle, elle travaille notamment avec Daniel Bélanger, Michelle Cormier, Lydia Wagerer, Marc Boivin, Sophie Corriveau, Jamie Wright, Pierre Lecours, Mélanie Demers, Roger Sinha et plusieurs autres. Elle a participé à la création de Pulstation Corrigée et On s’appelle et on déjeune au printemps 2010, deux pièces chorégraphiées par Vanessa Bousquet.
À l’automne 2010, elle présentera sa toute nouvelle création chorégraphique, RAciNe(S), lors d’une tournée québécoise des écoles secondaires. Cette pièce met en scène 5 artistes de la relève et vise un public jeunesse dans le but de faire connaître davantage la danse contemporaine et de la rendre plus accessible. Elle concocte d’ailleurs des ateliers préparatoires pour mieux encadrer les représentations et répondre aux questions des jeunes spectateurs.
Pleine d’ambition, Lydia est constamment à la recherche de nouveaux défis. Elle termine actuellement un certificat en Gestion de projets à HEC Montréal dans le but de parfaire ses connaissances dans la gestion des affaires culturelles ainsi que la gestion par projets. Elle a d’ailleurs travaillé comme responsable des communications pour Point d’Orgue, un événement d’improvisation in situ durant l’été 2010 et œuvre actuellement comme agente promotionnelle pour le groupe musical Racine Rose.
À l’automne 2010, elle présentera sa toute nouvelle création chorégraphique, RAciNe(S), lors d’une tournée québécoise des écoles secondaires. Cette pièce met en scène 5 artistes de la relève et vise un public jeunesse dans le but de faire connaître davantage la danse contemporaine et de la rendre plus accessible. Elle concocte d’ailleurs des ateliers préparatoires pour mieux encadrer les représentations et répondre aux questions des jeunes spectateurs.
Pleine d’ambition, Lydia est constamment à la recherche de nouveaux défis. Elle termine actuellement un certificat en Gestion de projets à HEC Montréal dans le but de parfaire ses connaissances dans la gestion des affaires culturelles ainsi que la gestion par projets. Elle a d’ailleurs travaillé comme responsable des communications pour Point d’Orgue, un événement d’improvisation in situ durant l’été 2010 et œuvre actuellement comme agente promotionnelle pour le groupe musical Racine Rose.
Élise Bergeron - Collaboratrice/Conseillère artistique
Dotée d'une passion innée pour la danse, Élise Bergeron obtient un DEC en danse au Cégep de Drummondville. Voulant poursuivre sa formation à un niveau professionnel, elle décide d'enrichir sa formation à LADMMI, l'école de danse contemporaine d'où elle sort diplômée en 2010. Elle a l'occasion de travailler avec entre autres Pierre Lecours, Marie-Claude Rodrigue, Anne Barry, Jamie Wright, Roger Sinha, Sarah Bild, Emmanuel Jouthe, Sebastian Matthias, Jose Navas, Ginette Laurin et Tedd Robinson.
Croyant fermement que la danse repose sur l'échange et le partage, elle co-fonde en 2008 le projet Incubateur, qui se veut une plateforme de création pour les étudiants de LADMMI. Par l'entre-mise d'Incubateur, elle développe un intérêt grandissant pour la recherche chorégraphique. Dernièrement, elle a eu la chance de présenter sa première création, Vibration: mes oreilles en sont restées muettes, à la maison de la culture Maisonneuve, dans le cadre de ZoneHoma.
Son travail se penche actuellement sur l'événement Parcours, un marathon d'improvisation in situ, dont elle est la conceptrice et l'organisatrice. À travers la conception de l'événement Parcours, Élise approfondit ses réflexions sur l'art et son apport social. Son questionnement actuel se porte plus précisément sur l'état d'humilité du danseur en performance : elle tente ultimement de dissocier l'égo de l'interprète, afin d'atteindre un état de communion directe et franc avec le public.
Croyant fermement que la danse repose sur l'échange et le partage, elle co-fonde en 2008 le projet Incubateur, qui se veut une plateforme de création pour les étudiants de LADMMI. Par l'entre-mise d'Incubateur, elle développe un intérêt grandissant pour la recherche chorégraphique. Dernièrement, elle a eu la chance de présenter sa première création, Vibration: mes oreilles en sont restées muettes, à la maison de la culture Maisonneuve, dans le cadre de ZoneHoma.
Son travail se penche actuellement sur l'événement Parcours, un marathon d'improvisation in situ, dont elle est la conceptrice et l'organisatrice. À travers la conception de l'événement Parcours, Élise approfondit ses réflexions sur l'art et son apport social. Son questionnement actuel se porte plus précisément sur l'état d'humilité du danseur en performance : elle tente ultimement de dissocier l'égo de l'interprète, afin d'atteindre un état de communion directe et franc avec le public.
